Géronce

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Géronce
Géronce
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Michel Contou-Carrere
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64241
Démographie
Gentilé Géronçais
Population
municipale
485 hab. (2021 en augmentation de 9,48 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 28″ nord, 0° 41′ 22″ ouest
Altitude Min. 167 m
Max. 290 m
Superficie 15,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Géronce
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Géronce
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Géronce
Liens
Site web www.geronce.fr

Géronce (en béarnais Geronce ou Geroùncẹ, en basque Jeruntze) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Géronce se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 42 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 9,4 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Goin (1,2 km), Orin (1,7 km), Geüs-d'Oloron (1,7 km), Aren (2,4 km), Poey-d'Oloron (2,4 km), Préchacq-Josbaig (3,3 km), Saucède (3,3 km), Verdets (4,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Géronce fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Géronce[6]
Saint-Goin Aren Poey-d'Oloron
Barcus Géronce Orin
Esquiule Moumour
(par un quadripoint)

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Géronce.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Joos, le Josset, un bras du gave d'Oloron, un bras du Joos, un bras du Ruisseau le Joos, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[8].

Le Joos, d'une longueur totale de 35,6 km, prend sa source dans la commune de Montory et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Préchacq-Josbaig, après avoir traversé 11 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 237 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 8 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[18], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[20],[Carte 3] :

  • le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (19 519,13 ha), couvrant 23 communes du département[21] ;
  • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[22].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Géronce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38 %), prairies (24 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), terres arables (14 %), zones urbanisées (3,4 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Dous : ancien village qui possédait une église (Saint-Pierre de Dous) entourée de son cimetière, aujourd'hui disparus. Les seuls vestiges de cette époque sont un tableau en bon état de conservation, mis en évidence dans l'église actuelle et une maison du XVIe siècle transformée en gîte rural. Cette maison fut un temps un presbytère.
Ce quartier possède un beau pont de pierre qui enjambe le Joos avec, en contrebas aval, un passage à gué utilisé surtout par les engins agricoles volumineux ;
  • le Lacé : nom donné à ce quartier de par sa route étroite et sinueuse. Ce quartier éloigné est habité en majorité par des familles d'origine basque.
Pour y accéder depuis le village, il faut emprunter le CD 524 via les villages souletains d'Esquiule et de Barcus ;
  • le Prat ('le pré') : il s'agit d'une place bordée par le Joos, laissée en herbe et entourée de chênes séculaires. Pour s'y rendre, il faut traverser le pont situé au pied de l'église ;
  • Urein : ce quartier commença à voir ses premières maisons neuves à la fin des années 1970. Le petit chemin, dit du Campagnot (CD 524), est devenu très vite une véritable rue desservant bon nombre de nouvelles habitations ;
  • le Vialé : il s'agit d'une petite place verdoyante située juste après le pont de pierre ; deux cents mètres après, se trouvent le nouveau cimetière, le local technique et la station d'épuration ;
  • le Castéra : colline surplombant le village et la plaine agricole de Josbaig (altitude : 226 m). Deux lotissements communaux : le Castéra (le plus ancien) et le Bourda y sont implantés. Une extension de cinq nouveaux lots est actuellement achevée sur le lotissement Castéra ;
  • les Barrats ('barrières' ou 'fermetures') : enceintes qui entouraient et défendaient le cœur du village. La rue Saint-Laurent et la rue des Barrats en délimitent toujours leur périmètre. À proximité, une maison forte du XVIe siècle (privée) fut probablement la résidence des seigneurs du lieu. Un important moulin, limitrophe et en partie ruiné, bâti sur une dérivation du Joos, peut occuper l'emplacement du moulin banal.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La route départementale 936 reliant Oloron-Sainte-Marie et Bayonne passe à l'extérieur du village. La route départementale 836 passe au milieu de Géronce et relie la D 936 au niveau des giratoires d'Orin et de Geüs-d'Oloron. Le CD 524, traversant les quartiers d'Urein, de Dous, du Castéra et du Lacé, relie la D 836 à la D 24 via Esquiule et Barcus.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Géronce est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron et le Joz erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[31],[29].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Géronce.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. 76,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Géronce apparaît sous les formes Jeroncen (XIe siècle[34], cartulaire de l'abbaye de Lucq[35]), Gironce (1343[34], hommages de Béarn[36]), Sant Laurens de Geronse (1396[34], notaires de Lucq[37]), Guironce (1402[34], censier de Béarn[38]) et Gironsse (1443[34], notaires d'Oloron[39]).

Son nom béarnais est Geronce[40] ou Geroùncẹ[41], en basque son nom est Jeruntze.

Anglade, ancienne ferme et fief vassal de la vicomté de Béarn, et qui dépendait du bailliage d'Oloron, est mentionné en 1385[34] (censier de Béarn[38]).

Nous pouvons voir l'origine du nom de GERONCE avec le nom d'un martyr du Ier siècle à lectoure (gers) dont les restes ont été rapatriés par charlemagne au moment de la bataille de roncevaux. les Chasses de sept saints dont st géronce sont actuellement exposées à l'église ste eulalie de bordeaux où une chapelle leur est attribuées. Dans cette église on trouve un tableau de charlemagne qui amène ces chasses. st géronce est le saint aussi de l'église de BOURG SUR GIRONDE.(références dans église ste eulalie bordeaux et à bourg sur gironde. ce sont les seuls endroits où est évoqué ce saint.)

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[34] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Géronce comptait 42 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.

D'après Francisque Michel, auteur du début du XIXe siècle, Géronce était le lieu de rassemblement des cagots de toute la vallée de Josbaig dans son lieu-dit le Prat.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1794 Jean Andreu    
1794 1795 Jean- Pierre Supervielle    
1795 1800 Jean Péloat    
1800 1816 François Poeynouguez    
1816 1821 Barthélémy Bellaucq dit Sartoulet    
1821 1826 François Poeynouguez    
1826 1827 Blaise Tristan    
1827 1832 Pierre Baleix    
1832 1837 Jean Lamazou    
1837 1840 Pierre Bellaucq    
1840 1843 Bernard Sajus    
1843 1865 Pierre Poey-Noguez    
1865 1869 Pierre Tristan    
1869 1871 Jacques Peyri-Capéra    
1871 1879 Pierre Poey-Noguez    
1879 1881 Bellaucq    
1881 1888 François Poey-Noguez    
1888 1898 Jacques Mouliot    
1898 1904 Bernard Laboudette    
1912 1919 Sylvain Mouliot    
1920 1925 Pierre Bellaucq    
1925 1941 Edmond Chrestia-Blanchine    
1941 1944 Pierre Lalanne-Carcy    
1944 1945 Edmond Chrestia-Blanchine    
1945 1953 Louis Bordes    
1953 1989 Albert Chrestia-Blanchine    
1989 2014 Marcel Cousté    
2014 En cours Michel Contou-Carrère    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de cinq structures intercommunales[42] :

  • la Communauté de communes du Haut Béarn ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat AEP du Vert ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

En 2021, la commune comptait 485 habitants[Note 8], en augmentation de 9,48 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
712654717724790841851848853
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
801802716661715703678637661
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
640601608595583541502403421
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
424367325347369376408425427
2014 2019 2021 - - - - - -
436477485------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent et son reflet dans le Joos.

Son carnaval annuel, en février, étalé sur deux week-ends, attire une foule importante de milliers de masqués et dans son défilé de chars. Ce défilé traverse toute la vallée de Josbaig (Orin, Géronce, Saint-Goin, Geüs)[47].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le castéra de Géronce : ce site élevé, non loin de l'église, où vient s'adosser le Prat, est resté très longtemps l'endroit de processions religieuses et aurait été à l'origine un camp romain.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent recèle des retables.

Équipements[modifier | modifier le code]

Le Joos est enjambé par trois ponts principaux : les ponts de Dous, du Prat et du Viallé.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose de deux salles d'école pour trois classes de CM1 et CM2.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Eugène Ruiz, né à Géronce le et décédé le , est un joueur de rugby à XV. Il fut champion de France en 1964 avec l'équipe 1 de la Section paloise où il évoluait au poste de pilier gauche. En 1965, il obtint une sélection en équipe de France B.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Géronce » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Géronce », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Géronce », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Métadonnées de la commune de Géronce », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Géronce et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Géronce et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Géronce », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Géronce », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  9. Sandre, « le Joos ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Géronce et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Géronce », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Géronce », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  23. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Géronce », sur Géorisques (consulté le ).
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  35. Cartulaire de l'abbaye de Lucq, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  36. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Notaires de Lucq - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
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  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Le site du carnaval de Géronce

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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